Découverte d’une injection SQL avec le scanner de BURP
Lors d’un pentest, nous sommes tombés sur cette situation :
Lors d’un pentest, nous sommes tombés sur cette situation :
Le brute force est certainement l’une des techniques d’attaques les plus triviales. La principale raison : le facteur humain reste le maillon faible de la chaine cybersécurité. En effet, nul besoin de réaliser des attaques d’ingénierie sociale ou des attaques d’injection SQL sophistiquées pour voler des identifiants car les habitudes ont la vie dure : les mots de passe des utilisateurs restent faibles donc faciles à deviner. Avec les bons outils, même les attaquants les plus novices parviennent à compromettre les données et paralyser les systèmes de grandes entreprises.
Le Cross-site Scripting (abrégé XSS) est une vulnérabilité particulièrement répandue dans les applications web. En effet, plus d’une application sur deux en contiendrait selon diverses études, d’anciennes comme de plus récentes. Pour étayer ce propos, il s’agit de la vulnérabilité la plus courante que nous découvrons et exploitons lors de nos pentests sur tous types d’applications et de sites web.
Principes, types d’attaques XSS, exploitations, nous vous présentons dans cet article une vue d’ensemble des XSS, ainsi que les bonnes pratiques sécurité et mesures à implémenter pour contrer les risques d’attaques.
Les DOM-based XSS sont des vulnérabilités particulièrement méconnues car plutôt rares. En effet, il s’agit d’une variante de XSS (Cross-Site Scripting) – certainement l’une des failles les plus répandues dans les applications web.
Principes, impacts, exploitations possibles, nous vous présentons dans cet article un aperçu complet des vulnérabilités DOM XSS ainsi que les bonnes pratiques pour prévenir les risques d’attaques et de compromission de vos applications web.
Le jeton CSRF est une protection qui requiert l’insertion d’une valeur aléatoire et dynamique dans une requête. Cette valeur est ensuite analysée par le serveur pour déterminer si la requête est légitime. Lors de vos tests d’intrusion, il vous est surement déjà arrivé de tomber sur une application utilisant ces jetons CSRF. Dans ce cas, vous avez sans doute constaté à quel point il est déroutant d’analyser une telle application avec Burp.
La sécurité des serveurs est un enjeu majeur pour les entreprises. En effet, étant un élément central dans le fonctionnement de toutes les composantes d’un système d’information (applications, réseau, infrastructure, collaborateurs, etc.), les serveurs sont souvent les cibles privilégiées d’attaques.
La plupart des applications web utilisent une ou plusieurs base(s) de données pour stocker et traiter les informations en temps réel.
En effet, lorsqu’un utilisateur envoie des requêtes, l’application web interroge la base de données afin de construire la réponse. Cependant, lorsque les informations fournies par l’utilisateur sont utilisées pour forger la requête à la base de données, un attaquant peut altérer cette dernière en l’utilisant à d’autres fins que celles prévues par le développeur d’origine. Ainsi, cela permet à un attaquant d’interroger la base de données via une injection SQL, abrégé en SQLi.
Les attaques CSRF sont souvent utilisées pour compromettre les données et fonctionnalités d’une application web.
Principes, impacts, exploitations possibles, nous vous présentons dans cet article une vue d’ensemble de la vulnérabilité CSRF ainsi que les bonnes pratiques et mesures à implémenter pour prévenir les risques d’attaques.
Au fil des années, les attaques d’ingénierie sociale sont devenues une réalité pour toutes les entreprises, quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille.
En effet, au-delà des vulnérabilités techniques souvent exploitées pour obtenir un accès non autorisé aux données et aux systèmes, la porte d’entrée favorite des attaquants reste les collaborateurs d’une entreprise et ce, la plupart du temps via des attaques de phishing.
La sécurité des réseaux est un enjeu majeur pour les entreprises. En effet, l’importance croissante des actifs informatiques, l’interconnexion des systèmes d’information et leur exposition, ont multiplié les risques d’attaques. Dans le même temps, l’information (les données) est produite, traitée, échangée et exploitée par des systèmes et sur des réseaux qui peuvent présenter des vulnérabilités au niveau de tous les composants ou de la configuration : serveurs, postes de travail, segmentation, Wi-Fi, accès utilisateurs, applications, etc.